Regardons ce que cela veut dire pour les associations :

Savons-nous communiquer ?

Savons-nous rédiger un communiqué de presse ? Savons-nous à qui l'envoyer ? L'envoyons-nous ? Autant de questions qui montrent que nous n'avons sans doute pas les codes qui permettent aux associations de relayer efficacement leurs actualités Avons-nous des comptes sur les réseaux sociaux permettant de diffuser nous même nos informations avant leur reprise par la presse ? Savons-nous choisir des mots-dièses pour être captés par des agrégateurs ? Bref, avons-nous compris les codes d'auto-communication du moment ?

Innovons-nous ?

Avons-nous des nouveautés ? Dépouillons-nous de nouvelles sources ? Avons-nous modifié l'accès à nos données (mise en ligne, type d'accès {payant, gratuit, réservé aux adhérents, temporairement gratuit...}) ?

Maitrisons-nous l'exceptionnel ?

Ces entreprises sont très douées pour relier leur actualité à l'histoire, et annoncer le dépouillement de tel cimetière pendant l'opération "printemps des cimetières" par exemple. Savons-nous faire de même ? Savons nous intégrer notre actualité dans une actualité plus générale afin de toucher un public plus large? Savons-nous parler et nous faire entendre en dehors de la sphère généalogique ?

Connaissons-nous nos relais ?

Nos associations ne sont pas forcément bien grandes et peuvent avoir besoin de relais pour communiquer, ces relais sont plus grands que nous et peuvent amplifier notre petite voix. La Fédération Française de Généalogie, l'association d'histoire locale, voire celle d'archéologie locale, le Souvenir Français ou le Souvenir Napoléonien sont autant de relais qui peuvent nous aider à élargir notre public.

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