Ce très court article pour vous signaler que le mythe d'un large nombre d'enfants adultérins est remis en cause par les analyses ADN, c'est à lire sur Slate... Pour une fois que l'ADN sert la généalogie c'est à signaler ! Et vous qu'en pensez-vous ? De nombreuses traces d'enfants adultérins dans les archives ?
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3 réactions
1 De Guillaume - 22/12/2018, 14:11
Comme le dit le blog ADD à propos des trop nombreuses publicités pour les tests
Mais ne nous y trompons pas : c’est aussi, ici – au travers de cette fascination scientifique et de cette envie quasi névrotique de se situer, de savoir d’où l’on vient, de connaitre absolument tout sans distinction – un peu la disparition du sensible, du délicat, du préservé. Car le tranchant de la transmission biologique froidement révélée n’accorde en effet que peu d’intérêt aux cas de vie qui font pourtant aussi nos arbres et nos familles..... Ne perdons pas à l’esprit que c’est une perte considérable qui s’ouvre : celle de la sensibilité. Celle – autrement dit – qui a poussé nos arrière-grands-mères à ne rien dire
Lire l'ensemble de l'article sur leur blog
2 De Denis Beauregard - 23/12/2018, 15:40
Le taux d'ÉNP (événements non parentaux) en Nouvelle-France, d'après les triangulations et ceux qui ont des données non cohérentes, serait autour de 0,5%. Ce doit être similaire en France pour l'époque comparable (disons avant 1800).
3 De Guillaume - 14/12/2019, 11:50
Un américain vient de découvrir sur a des tests ADN de généalogie qu'il n'est pas le père de sa fille. Il se demande désormais s'il peut demander une pension alimentaire au géniteur de celle-ci. C'est à lire en anglais sur Marketwatch