On peut trouver depuis quelques jours (le 27 août dernier) une nouvelle étude comparative des bibliothèques virtuelles sur le blog de Michaël (dit Miklos). Son analyse est complétée d'un tableau comparatif au format pdf.

Dans cette étude un peu plus resserrée (4 bibliothèques étudiées) que celle d'Inma Abbet (12 bibliothèques), on peut voir l'avance technologique de Google, quoi que Gallica n'ait pas à rougir au niveau technique. La petite dernière Européana fait aussi parti du panel étudié, alors qu'elle ne l'était pas (car pas encore créée) dans celui d'Inma Abbet. L'article met aussi en évidence un des effets négatifs du monopole Google sur l'indexation, garder l'internaute captif du moteur Google. les contenus des livres de Google Books sont indexés dans le moteur de recherche de Google – mais pas ailleurs… Ceci a pour conséquence de « forcer » l’internaute qui recherche des ouvrages à aller interroger soit le moteur Google, soit Google Books.